Bulma princes$ des £toiles... Quand l' hi$toire se répett£.

la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee tu comprend maintenant quont est tous impatient d'avoir la suite alors vite la suite....

Nouveau Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 14/10/2007

On aime trop ta fic Yuna!!!! Viteuuuhhh !!!on veux la suite XD

Aller s'il te plaît...mets nous la suite!!!!

^^ Oulala^^
lol
j' ai pas trop le temps en ce moment mais ce week promis juré sur la vie de moi !!!^^

bizouxx

le weekend est passé et toujours pas de suite Sad

Nouveau Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 14/10/2007

Cruelle Yuna!!! tu es cruelle!!!

Mets la suite!!!!!!!!!! PITIER!!! lol

Désolée de vous avoir fait attendre^^
Voilà le prochain chapitre !!!^^

Chapitre n°3 : Désignée par Dieu .

Quand Améthyste et Toula sortirent dans le couloire, un tumulte infernal provoqué par les cris et les ordres des divers servantes les assourdirent à moitié. L’ agitation qu’ il y régnait laissait prévoir plus d’ une mauvaise nouvelle. Certaines, mieux informées que les autres, criaient de vive voix pour se faire entendre par-dessus le vacarme : « Il est là, il va en choisir un nouvelle ! » D’ autres encore : « Si ça se trouve il va l’ envoyer directement là-bas ! » …
L’ ennuie et la traintrain quotidiens de la maison avaient fait place à la panique et la confusion. Améthyste aida Toula à se traîner jusqu’ aux cuisine, là où il y avait le moins de monde… refermant la porte derrière elle, elle respira profondément pour tenter de calmer se nerfs, piqués à vif. Il ne pouvait pas être là ! Non pas si tôt. Il n’ aurait du revenir qu’ une semaine plus tard, et pourtant, quelque mur derrière elle, il était là… Sûrement en train d’ ordonner le rassemblement des servantes dans la salle principale… Ouvrant de nouveau ses grands yeux bleu pâle, elle découvrit le visage de Toula. La vielle femme la regardait d’ un air horrifiée. Levant son doigt en direction de son propre visage, elle laissa échapper un léger cri, perçant, qui ressemblait plus à un miaulement qu’ à un bruit d’ humain. Améthyste compris immédiatement de quoi il s’ agissait ! Portant ses deux mains d’ un air affolée sur ses joue, rougit par l’ effort qu’ elle avait du fournir pour se frayer un passage au milieu des nombreuses servantes dans le corridor. Et se qu’ elle toucha, la terrorisa encore plus ! Rien… IL n’ y avait rien…. A part sa douce peau mâte et brillante. Elle l’ avait oublié ! Le masque qui la protégeait ! Celui qu’ elle n’ aurait jamais du enlever ! Celui qui était le gardien de son identité devant les sayens. Effarée, elle regarda Toul de ses yeux bleus, qui commençaient à se remplir de larmes chaudes et transparentes… Paniquée, elle sortie sans réfléchir dans le couloir et s’ engouffra dans l’ attroupement de servantes qui continuaient de courir dans tous les sens.
Courant là où elle réussissait à se frayer un chemin, elle aperçut durant une fraction de seconde, la grande porte rouge, qui donnait sur la chambre qu’ elle avait drapée quelques minutes plus tôt avec Toula. Ralentissant sa course, elle s’ agrippa à la poignée, mais les servantes autour d’ elle l’ entraînèrent, comme un torrent emporte les brindilles qui sont tombées dans sont cour d’ eau, et qui sont impuissantes face à la force de l’ eau…
Criant, en sachant que cela ne servait à rien, en sachant que personne ici ne l’ entendrait, elle redoubla d’ effort, et parvenu enfin, au bout d’ une dizaine de minutes à pénétrer dans la chambre. Le silence se fut, lorsqu’ elle referma l’ ouverture… Et elle savoura un brève instant cette sensation d’ oublie, que lui produisait le fait de ne rien entendre. Après le bruit infernal, le calme absolu lui paraissait un plaisir et une récompense sans prix…
Puis, se reprenant, elle fila dans la salle de bain, là où elle avait posé son masque. Pensent que la malchance allait continuer à la poursuivre, elle ferma les yeux en pensant qu’ au pire des cas, quelqu’ un serait passé ici avant elle et l’ aurait prit… Mais quand elle ouvrit les yeux, il était là, au même endroit où elle l’ avait laissé. Souriante, elle le saisie d’ un geste vif et le posa avec hâte sur son visage, qui disparu complètement sous le reflet blanc du masque de porcelaine nacrée. Enfin elle se sentait à l’ abris. Ce n’ était peut être rien, mais il était capital qu’ elle l’ ai ! Il lui offrait une protection contre les regards indiscret et accusateurs d’ autrui…

Une heure plus tard…

Améthyste avait réussie à rejoindre la grande salle, où toutes les servantes devaient impérativement se rassembler sous les ordres du maître…
C’ était un salle grandes, qui aurait pu contenir une centaines de personnes. Les murs rouge nacarats, étaient orné de grande fresques peintes à la main avec le plus grand soin. Des arbres au feuillage bleu et or scintillaient dans les coins de la pièce. Un lustre, autour du quel brillaient plusieurs boules d’ énergie bleues, renvoyait des reflets difforme et miroitants contre un chaise ressemblant à un trône monté sur pied, en or massif. De toute évidence, le propriétaire avait du dépenser un véritable fortune, rien que pour aménager cette salle…
Sur le trône, un homme au visage dur et sérieux, aux cheveux et aux yeux noirs comme le néant et au teint blanc comme la neige les matins d’ hiver, se tenait assis, droit et fier. A ses pieds, les servante était assissent en ragées égales, toute dans la même position d’ infériorité, les genoux au sol, leurs visages masqués baissés… Apparemment, elles attendaient un signe quelconque de la par de leur maître. Puis, quelques minutes plus tard, il soupira, et se redressant davantage il dit, d’ une petite voix aiguë et perçante, qui n’ allait pas du tout avec son aspect physique et qui ressemblait plus à un jacassement d’ enfant qu’ à une voix d’ homme :

Je sais ce que vous pensez mesdames… Comment se fait-il que je sois rentré si tôt ? Et bien je vais me hâter de répondre à cette question qui semble tourmenter plus d’ une d’ entre vous… Le roi Végéta lui-même m’ a promu à un combat d’ arène.

Les servantes se renfrognèrent davantage, leurs masques dissimulant sûrement des larmes. Le fait que le maître éclate d’ un rire sournois et tonnant renforça encore plus leur crainte. Après s’ être défoulé un moment en s’ imaginant le désemparement que devaient éprouver les servantes, il se reprit et poursuivit :

Ha ha ha ! Je ne me doute pas que cette nouvelle doit en effrayer beaucoup parmi vous n’ est ce pas ?! Ha ha ha ! Et donc… L’ une d’ entre vous aura l’ immense honneur de divertir le Roi… En se battant dans les arènes. Bien que je sache qu’ aucune d’ entre vous à ne serais-ce qu’ une seule chance d’ en sortir vivante… C’ est là tout le plaisir du jeux ! Ha ha ha !
Donc… Y a-t-il une volontaire ?

Comme à son attente, personne ne répondit, et le silence de plomb ne fut brisé de nouveau que lorsqu’il se décida enfin à reprendre la parole… Décidant que « l’ élue » serait nominée par tirage au sort, dans le plus grand des hasards. Et souhaitant bonne chance par avance à celle qui serait désignée par la volonté de Dieu ! Il ferma les yeux, et tourna trois fois sur lui-même, d’ une manière grotesque. S’ arrêtant sur le côté gauche de la salle, il pointa son doigt au milieu du tas, et ouvrit de nouveau les yeux. Il désignait un jeune fille… Ou une fillette plutôt, pas plus âgée de 10 ans. Un brouhaha s’ éleva dans la salle, et la fillette se mit à pleuré désespérément, espérant que quelqu’ un viendrait à son secours… Se fut un des gardes aux côtés du maître qui osa prendre la parole, mais d’ une manière assez hésitante et mesquine :

Vous voulez que ce soit cette petite ? Ou désirez-vous refaire un tirage pour que le spectacle dur plus longtemps dans les arènes ?

Quoi ! Tu voudrais remettre en cause la volonté du seigneur ?!

N… Non ce n’ est pas ça… C’ est juste que… Je pense que le Roi n’ appréciera pas que… Que vous lui offriez simplement une gamine pour le spectacle.

Heuu… Ce n’ est pa totalement faux mais…

Il semblait hésiter, légèrement intimidé par la réflexion du sayen…
Mais quelque chose d’ autre vint troubler le tumulte et les plaintes qui s’ élevaient à présent dans la salle…

Quoi Yuna? Qu'est ce qui le gêne??? Pitié dis le vite!!!!

Fait vite yuna! je ne peut plus attendre!

Nouveau Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 14/10/2007

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Que t'ai-je fait Yuna pour que tu me fasse sa!? C'est quoi qui le gène?? C'est Améthyse qui va faire un truc ou le seigneur va lappeler ??? quoi?

la suite vite vite vite vite vite vite vite vite vite vite!!!!!!!!!!!!!!!!!!

KiikoO tous le mOnde!!^^
vOiilà enfiin la suiite de ma fiic !!
^^
bOnne lectur£ !!!

Chapitre n°4 : Une main dans l’ombre.

Une silhouette fine et gracieuse se dessinait, debout au milieu des servantes encore accroupies au sol…

Elle paraissait flotter. Ses habits constitués d’une simple robe bleutée ondulaient légèrement autour de ses pieds, chaussés de sandalettes à talons bas. Son visage, comme celui de toutes les autres, était caché par un masque de porcelaine blanc qui étincelait sous la lumière des torches qui éclairaient la pièce. Bientôt, ce fut le silence… Et le seul bruit qui persistait, était le sanglot étouffé de la jeune fillette désignée pour le tournoi d’arène.
Tous les yeux étaient venus se poser sur cette femme qui s’était dressée. Même le maître demeurait silencieux, attentif au moindre geste. Elle marcha d’un pas nonchalant vers la petite qui continuait à pleurée dans ses manches, et s’agenouilla près d’elle. Elle ne portait pas de masque… C’était inutile à cause de son jeune âge. La femme lui prit les mains, et lui retira doucement du visage. Un visage fin, long, aux yeux tombants et imbibés d’une grande tristesse, dont le point centrale était un petit né en trompette, caractéristique d’un visage d’enfant. Des larmes chaudes et transparentes coulaient de le long de ses joues blanches et squelettiques, qui montrait qu’elle ne devait sûrement pas manger grand-chose, puis venait s’écraser en un « ploc » muet sur le sol de marbre bleu. On voyait dans son regard un dés emparement et une pitié à en faire s’effondrer des montagnes. Elle aurait pu attendrir le plus dur des rocher…
La femme la contempla, puis la serra contre elle. La fillette sentit cogner dans la poitrine de la jeune femme, un cœur tendre et réconfortant. Elle se sentait en sécurité entre ses bras si fin, si doux, si maternel. La femme se dégagea, et lui essuya ses larmes avec un pan de sa robe qui devint foncé avec l’eau, puis une fois sec, reprit sa véritable couleur bleu pâle.
Le maître se levant, descendit quelques marches qui entouraient son fauteuil, puis s’adressa à la femme :

Tu n’auras jamais assez de tissus pour sécher toutes ces larmes !

Les deux gardes à ses côtés éclatèrent de rire. Pendant un instant, ont cru voir le masque de porcelaine de la femme traversé d’une expression de haine et de rancune. Mais après tout ce n’était qu’un masque, il ne pouvait montrer ce qu’il cachait, aussi fort que cette colère puisse être. Dans un souffle, la femme murmura :

Peut-être n’aurais-je jamais assez de tissus pour sécher toutes ces larmes… Mais une chose est sure… J’aurais assez de cœur pour éviter que son sang ne coule…

Les rires disparurent de nouveau…
Le maître la regardait avec étonnement, sans parler de la surprise des servantes qui se mirent de nouveau à chuchoter dans la salle, provoquant des échos dans cette pièce si renfermée. Le maître cria :

SILENCE !! Que veux-tu dire par là ?…

Si vous le permettez maître Kirusay… Je me porte volontaire pour prendre la place de cette gamine.

Cette fois-ci, ce ne fut pas de simples chuchotements qui parcoururent la salle, mais de véritables conversations à haute voix ! Des exclamations de surprises et de protestations s’élevèrent de la foule de servantes. Le maître Kirusay faillit en perdre l’équilibre ! Jamais une telle chose ne s’était produite au par avant ! Reprenant ses esprits aussi rapidement que possible, Il réclama de nouveau le silence, mais il fut plus long à obtenir que la première fois. Puis se tournant de nouveau vers cette femme qu’il croyait suicidaire, il lui demanda dans le souffle de voix qui lui restait, ses cordes vocales incapables de fonctionner, de décliner son identité…

Améthyste Osenaka. Fille de Kalle et Miia Osenaka.

B… Bien. Pourquoi ?...Prendre la place… D…De cette jeune fillette ? Etait-elle de… Ta famille ?

Non maître Kirusay. Mais elle est jeune comme vous l’avez dit.

Es-tu…Sui…Suicidaire ?

Non maître.

Alors…Donne…Donne moi une… Une simple raison ?

A-t-on besoin d’une raison pour venir en aide à quelqu’un ?

Je…Je ne comprend…Pas très bien…T…Ton raisonnement.

C’est simple pourtant. Même si je ne connais ni le passé, ni le présent, ni l’avenir ou même le nom de cette gamine…Il est de mon devoir de me sacrifier pour ceux que j’aime.

Mais…Mais tu viens de dire…

Que je ne la connais pas. Et alors ? On n’a pas besoin de connaître une personne pour lui venir en aide. Encore moins pour la laissez mourir en sachant qu’on peut la sauver.

Mais dans ce cas…Tu perds ta vie !

Peut m’importe de vivre…

Kirusay Ne savait plus que dire ! Il ne trouvait plus aucuns arguments pour essayer de comprendre. Mais de toute façon, ce sacrifice jouait en son honneur puisqu’au lieu d’offrir une simple fillette au Roi, il allait pouvoir lui donner une femme jeune et mûre qui apparemment était dotée d’un grand courage pour ne pas craindre de mourir. Après réflexion, et sans chercher à comprendre davantage, il acquiesça d’un léger signe de tête en signe d’approbation. Améthyste parue satisfaite, sous le regard impuissant de Toula, qui ne comprenait pas le moindre sens de ses actes, elle venait de se condamner à mort !

Et voila !!! Alors bien le chapitre ??